L’opacité de la filière bois russe

« 20 camions remplis de bois illégal aux portes de l’Union Européenne tous les jours »

En dépit des sanctions européennes et de la surveillance portée à la filière du bois russe et biélorusse, tracer les flux de matières et remonter jusqu’à leur origine s’avère très opaque pour les acheteurs finaux.

Les opérations de blanchiment via des pays tiers comme la Turquie, la Chine et le Kazakhstan complexifient en effet la traçabilité et la transparence de ces chaînes d’approvisionnement.

Que faire ? Renforcer les contrôles et la traçabilité.

Le nouveau règlement EUDR pourrait aider, mais des efforts supplémentaires seront nécessaires.

Partager