Après la filière cerise ravagée par des attaques de mouches, les vignobles du Bordelais et du Sud-Ouest subissent une violente crise de mildiou…
Une situation complexifiée par la réduction (voire l’interdiction) des produits phytosanitaires autorisés : « la bonne stratégie cette année c’était d’utiliser des phytos classés CMR (Cancérigènes, Mutagènes et Reprotoxiques), la mauvaise c’était d’être en bio », d’après un viticulteur en appellation Madiran.
Face aux épisodes climatiques extrêmes et au développement rapide des parasites, les agriculteurs doivent réaliser des arbitrages complexes : préservation de l’environnement et de la santé publique ou maintien de leur activité ?
