En matière de souveraineté des agriculteurs, l’utilisation de semences non-OGM est-elle le sujet pertinent à traiter ?
Ou faut-il plutôt se demander, comme le suggèrent Materra et Cotton Diaries, si on leur donne une chance d’être consultés et écoutés ?
« Ce qui est important, c’est de remettre l’agriculteur au cœur et à la racine du processus décisionnel, et d’avoir un système de mode coopératif qui profite à tout le monde.